Devenir consultant RH indépendant propose de nombreuses libertés, mais choisir le statut juridique adéquat est essentiel. Chaque option, du portage salarial à l'auto-entrepreneur, offre des avantages et des inconvénients spécifiques. Quel statut adopter pour optimiser votre situation fiscale et sociale ? Découvrez les critères clés pour faire un choix éclairé et durable.
Le portage salarial est une excellente option pour ceux qui débutent en tant que consultant RH indépendant. Ce statut offre une flexibilité remarquable tout en garantissant une certaine sécurité sociale. Voici comment cela fonctionne :
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Le statut juridique choisi par un consultant RH indépendant impacte significativement sa fiscalité. Par exemple, le statut d'auto-entrepreneur impose un prélèvement libératoire qui simplifie la déclaration d'impôts, basé sur un pourcentage du chiffre d'affaires. En revanche, le statut d'EURL ou de SASU implique une imposition sur les bénéfices, souvent nécessitant une comptabilité plus complexe.
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Les cotisations sociales varient également selon le statut. Les auto-entrepreneurs bénéficient de taux réduits mais avec une protection sociale limitée. En EURL ou SASU, les cotisations sont plus élevées, offrant une protection sociale plus complète, incluant retraite et assurance maladie. Le portage salarial, quant à lui, permet de bénéficier du régime général de la sécurité sociale, offrant une couverture similaire à celle des salariés.
Chaque statut impose des obligations légales spécifiques. Les auto-entrepreneurs doivent déclarer leur chiffre d'affaires trimestriellement ou mensuellement. Les EURL et SASU nécessitent une comptabilité rigoureuse avec des bilans annuels. L'URSSAF est l'organisme de référence pour les déclarations sociales, et varieront selon le statut choisi.